Franges urbaines

La question des franges fait consensus : il est nécessaire aujourd’hui de mieux traiter la transition entre espaces urbains et espaces agricoles, que ce soit dans les permis d’aménager à vocation résidentielle ou économique. Les orientations actuelles du SCOTERS étant insuffisantes pour une réelle prise en compte des problématiques liées aux franges (santé, biodiversité et paysage) un des enjeux de la révision portera sur le traitement de ces franges dans les lotissements et zones d’activités.

 

Vers une plus grande « qualité »

Les témoignages des communes urbaines comme rurales montrent que l’encadrement de l’initiative privée par le règlement du PLU et/ou les OAP ne suffit pas toujours. Un engagement fort de la collectivité, en matière de portage ou de suivi fin du projet, permet en effet de s’assurer du bon respect des objectifs liés aux attentes sociales (typologie des logements, espaces publics, locaux commerciaux) tout en garantissant un encadrement du coût de sortie de l’opération.

Les réflexions en cours visent à apporter plus de « qualité » aux projets locaux. Cette notion, qui peut prendre plusieurs formes (architecture, formes urbaines, supports de mobilité, aménagement des espaces publics, végétalisation ou présence de l’eau, etc.), permet de guider les élus et porteurs de projets vers des aménagements répondant aux attentes et besoins des population.

L’objectif est de définir un cadre de discussion mais également de développer l’accompagnement des communes (sous forme de guide ou d’apport d’ingénierie aux communes volontaires).

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